Le concert du 7 mars 1957 à New York, est resté comme
un des plus inoubliables de l'histoire du jazz. Art BLACKEY,
revenu d'Afrique était totalement sous l'influence de la musique
traditionnelle. Pour l' accompagner à la batterie, il fit appel à
quatre batteurs et cinq percussionnistes, sans oublier les flutes
africaines. Orgy in rhythm atteint le summum des polyrythmies les plus complexes. On a pu l'entendre en France, au club St
Germain et au Blue Note, célèbre lieu du jazz ( au 27 rue d'Artois
à Paris), qui permit à tous les grands du jazz, de se faire entendre.
Sa réputation de batteur formidable impressionna Roger Vadim,
qui le fit jouer pour son film " les liaisons dangereuses" en 1959 .
Blackey a pu accompagner les plus grands, comme Miles Davis,
Thelonious Monk, Horace Silver parmi beaucoup d'autres.
En 88, il fut nominé pour la plus grande récompense en qualité
de " jazz Master". Il décéda à New York en 1990 .Avoir pu l'entendre
reste un souvenir exceptionnel.
Très belle composition et... les couleurs d'Elza !
RépondreSupprimerBises et très bon dimanche.
Quelles couleurs, une fois encore. et je dois bien le reconnaître : quel rythme. Tu as fini par me convaincre : associer musique et peinture est enrichissant ! Merci.
RépondreSupprimerLes couleurs de ce pastel sont harmonieuses et j'aime beaucoup les effets de matière qui les structurent. Bon dimanche, Elza!
RépondreSupprimerAnne
Bonjour Elsa, merci pour votre message sur mon blog, qui m'a permis à mon tour de découvrir le vôtre, où je trouve des oeuvres superbes, qui me plaisent énormément. Bravo l'artiste ! Amitiés de Suisse
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