17 x 24
Juste une petite pause avec le jazz. J'ai
retrouvé le goût des diagonales et le
souvenir des collages avec papiers
déchirés. D'où mon titre. J'ai délaissé
pour l'instant les pastels, pour choisir
les pinceaux, les peintures. Il faut
suivre son instinct et ne pas s'enfermer
dans un style . Ce que j'essaie de faire
plus ou moins adroitement.
En tout cas, ton instinct t'a bien guidée !
RépondreSupprimerOui, il faut le suivre et ne pas s'enfermer dans un style, ni dans un thème...
Un très beau résultat aux couleurs vives presque printanières !
J'ai repris mes pinceaux et couteaux hier et, en changeant de thème, mon envie de peindre est revenue...
Je t'embrasse, Elza, très belle journée !
Norma du matin
J'aime beaucoup tes déchirures.
RépondreSupprimerIl faut toujours suivre ses impressions c'est comme cela que l'on est heureux de peindre.
Faire sortir de sa tête les idées par les yeux et les poser à l'aide de ses mains sur la toile.
C'est très réussi. Bravo.
Belle journée et bises.
Belle réussite pour ce retour à la peinture, couleurs déchirées irradie de fraîcheur et de gaieté...tout simplement de vie...au plaisir de te lire encore sur Brume en couleur, très belle journée, Elsa.
RépondreSupprimerLes couleurs en diagonale
RépondreSupprimerprennent la tangente
s'assemblent et s'étalent
au soleil de la toile
projetant leur ombre noire
pleine de lumière.
Chère ELZA bravo et bonne créativité.
Fantásticas esas llamaradas verdes en diagonal sobre ese fondo rojo. La vuelta al fauvismo dentro de la abstracción. Has seguido bien tu instinto o el de la pintura. Nunca se sabe quién guía a quien.
RépondreSupprimerUn cordial saludo.
Virgile,
RépondreSupprimerTu nous a fait rire avec ton message sur notre blog !!!
Bisous à vous deux
xxx